Poème sombre
Rouge, nuit, rouge, pluie, rouge
Les ailes, prisonnières du vent
Font battre le cœur du géant
Sur l'asphalte le voile tombe
Plus de paix sous les bombes
Font battre le cœur du géant
Sur l'asphalte le voile tombe
Plus de paix sous les bombes
Tout est vain.
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Que du bruit !
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Que du bruit !
Des rêves en lambeaux s'élancent
A la conquête du néant
Colombes sans arrogance
Sans aile et sans océan
Sur les vagues de l'agonie
Vaincu, l'amour est banni
Que devient la résilience
Quand s'est tu le silence ?
A la conquête du néant
Colombes sans arrogance
Sans aile et sans océan
Sur les vagues de l'agonie
Vaincu, l'amour est banni
Que devient la résilience
Quand s'est tu le silence ?
Tout est vain.
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Que du bruit !
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Que du bruit !
Le cœur du géant enchaîné
Se déchaîne en chamade
Il n'y a plus rien à tenter
C'est la fin des barricades,
Le triomphe des adorateurs
Aux mains trop bien lavées
C'est la défaite des cœurs
Qui ne s'entendent plus aimer
Il n'y a plus rien à tenter
C'est la fin des barricades,
Le triomphe des adorateurs
Aux mains trop bien lavées
C'est la défaite des cœurs
Qui ne s'entendent plus aimer
Tout est vain.
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Du rire au crime
Il n'y a plus rien ici
Que du bruit !
Rouge, nuit, rouge, pluie.
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